Rencontre ave Marike Van Der Horst

Depuis quand vous consacrez-vous à l’écriture ? 

Environ 10 ans, j’ai débuté par des petits articles dans Keltia Magazine, quelques articles plus sérieux puis j’ai publié mon premier livre il y a 4 ans.

Quels sont vos thèmes de prédilection ? 

Je suis passionné de tout ce qui est celtique depuis l’âge de 6 ans. Et j’y rajoute le « folklore » depuis 20 ans.

Quels sont vos liens avec la Bretagne ? Et les pays celtiques ? Je ne suis pas bretonne, ni celte, mais j’en ai l’âme. J’adore la culture égalitaire et sa la complexité

Quel est votre dernier ouvrage ? Pouvez-vous nous le présenter en quelques lignes ?

Mon dernier (et premier ouvrage) est ” Légendes Celtiques ” c’est un “beau livre” avec lequel j’essaye de faire connaitre la culture celtique à un public moins averti. Les images sont faites par une dessinatrice connu : Krystal Campubri et moi, j’ai écrit le texte en tenant compte des exigences de l’éditeur : un nombre de pages par histoire, et  certains sujets. Je n’ai rien inventé mais j’ai réécrit de façon compréhensible des histoires anciennes plus ou moins connues. Pour l’histoire de Tristan et Iseude j’ai choisi de prendre la version galloise plus ancienne et plus proche de la culture celtique et de mes aspirations. J’en ai aussi profité de l’occasion pour faire connaitre des légendes totalement inconnues du public français et d’y mettre quelques pages d’information  sur les Celtes.

Quels sont vos projets en matière d’écriture

J’ai fini l’écriture «  à 6 mains » d’un dictionnaire de mythologie et de folklore celtique, mais l’éditeur s’est retiré donc je cherche un nouvel éditeur. J’ai aussi un projet sur l’écriture oghamique, une écriture secrète 100% celtique vieux d’au moins 1500 ans. Avec un peu de chance il sortira d’ici l’été chez Yoran Embanner.

Et, vous-même quel lecteur êtes-vous ? 

Oh je suis un très mauvais exemple, dès que j’ai su lire, je n’ai plus arrêté. Toute petite j’ai réussi à faire croire à ma mère que j’avais peur du noir pour qu’elle me laisse la lumière allumée dans le couloir et que je puisse lire en douce. Mais je me soigne : depuis que j’écris j’ai diminué un peu et je ne suis qu’a 2 à 3 livres / semaine.

Avez-vous participé déjà au salon Lire la Bretagne ?

J’ai participé pendant le COVID pour Keltia Magazine et j’ai aussi été visiteuse. Le salon pendant le COVID était calme, donc ce n’est pas un bon exemple, mais l’ambiance était très conviviale. En tant que visiteuse j’ai apprécié la diversité des auteurs, allant de aquarellistes, poètes, aux romanciers. C’est une belle fête.

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