Rencontre avec Didier Sébilo

1) Depuis quand vous consacrez-vous à l’écriture ?

L’écriture est pour moi un cheminement depuis mes deux ans où, à ce qu’on m’en a dit, je tenais une conversation de deux heures avec mon oncle, puis au lycée où j’écrivais des dissertations « fleuve » de vingt-cinq pages, pour que l’écriture deviennent une priorite qui ne m’a pas quitté depuis mes trente ans.

2) Quels sont vos thèmes de prédilection ?

Thèmes très divers, mais principalement l’amour, les chemins de vie, la relation entre l’aventure indivuduelle et l’aventre collective, l’humour, je vous invite à vous reporter à un entretien avec notre ami Jean-Simon Mahé sur ce sujet, disponible sur youtube ou sur mon site « legrandlarge.fr »

3) Quels sont vos liens avec la Bretagne ?

Ouessantin d’adoption où mon oncle et ma tante habitaient et où nous passions toutes nos vacances (3,5 mois à l’époque) et où je continue de passer mes vacances.

4) Quel est votre dernier ouvrage ? Pouvez-vous nous le présenter en quelques lignes ?

« La Chiboust »

Guidée par l’Esprit et soutenue par frère Joël, Marie-Rose adopte et élève seule une douzaine d’enfants. Le lecteur partagera ses nombreuses aventures familiales, entre drames, splendeurs, pauvreté et don de soi, avec, en fil rouge, cette Chiboust dont le secret, enfin dévoilé, ne déplaira pas aux gourmands.

Ce roman païen de spiritualité, mélange de fable et de réalité, incarne un flamboyant message d’espoir : entre rires et larmes, la seule gloire ne peut être que l’amour dans le pays d’humanité. Un amour qui se décline dans le visage de l’amitié et dans la fidélité aux valeurs essentielles, où la sincérité et la générosité ne sont pas les moindres caresses vers l’absolu. Alain Breton

5) Quels sont vos projets en matière d’écriture ?

Deux livres en gestation (entre autres) :

Le cadeau du baptême, un receuil de 136 poèmes d’accueil au baptême, illustrés et complétés de la biographie des Saints patrons des baptisés ; en relecture, presque fini.

Livre sur la guerre en Ukraine où je psychanalyse les motifs de la guerre, très clairs dans mon esprit (à la suite des rencontres que j’ai faites lors de ma thèse) mais extrèmement difficile à écrire ; je ne suis pas sûr d’y arriver.

6) Et, vous-même quel lecteur êtes-vous ?

Je lis lentement mais je lis tout le temps avec un calpin (mon e-phone) pour noter les mots que je ne connais pas.

7) Avez-vous participé déjà au salon Lire l Bretagne ? Si oui, dites-nous, en quelques lignes, ce que vous en avez pensé ?

Oui, depuis des années. J’aime bien l’ambiance extrêmement amicale, je rencontre des confrères écrivains et cela me ravit, je me goinfre de rencontres avec les lecteurs, je vends pleins de livres.

Leave a comment

Your email address will not be published. Required fields are marked *